11 aout ¡ ca me dit bien a potosi !

Ca me dit bien a Potosi ¡! Nous nous rapprochons de la frontiere argentine, puisque apres 11h de trajet dans un bus cama, nous sommes arrives a 6h du mat dans cette ville miniere. les trajets en bus ici, c est vuelque chose… laissez moi vous donner un petit gout de l experience : - lorsque les sieges inclinables ne s inclinent pas, on passe une bonne nuit, hien Marie ? - quand pdt une bonne partie de la noche on nous passe des anciens schwarzi, ou van damme sur une vieille tele brediloquante au dessus de ta tete, on passe une bonne nuit, hein Marie ¿ - quand le bus devient le lieu de predilection des pickpocket alors que toi, pauvre gringa dort tranquille ou bien patiente au milieu de l allee (pas fut fut cest sur mais bon..) - quand se succedent joueurs de flute de pan, marchands de produits qui guerissent tous les maux comme par magie, ou enfants qui recitent par Coeur un discours de solidarite a en perdre le soufflé .. - le bus, c est aussi l endroit ou notre ami philippe – on peut le dire je crois – creve la dalle .. le pauvre, il est soumis un regime force, lorsque a chaque fois on est a la bourre pour choper le dernier carro qui reste avant le lendemain et qu on a pas eu le temps de se faire un bon pollo a la braise comme ils le font si bien et si tout le temps ici, lol ! Bon, je referme la parenthese du bus pour en arriver a notre arrivee..quim selon l heure et la ville est encore qqch d´mm.. assez “experimental” A 4h du mat, a Juliaca, t as peur de te faire egorger .. a devoir attendre dans la rue un autre combi..;, a 5h du mat, a huancane (jsais bien que ces noms vous disent rien mais c est pour faire bien lol), tu hallucines devant tous les jeunes gens et jeunes filles qui s entrainent dans les egouts au milieu de la route .. En fin, Par ex, hier, on arrive a Potosí a 6h du mat, une ville quo n connait pas, un malentendu entre nous nous fait marcher au lieu de prendre un taxi .. et errer les gros sacs sur le dos, d un hotel a l autre.. tous fermes.. alors on attend. Efnin on en trouve hein, una senora muy simpatica, et on termine notre nuit jusqu a ce que l odeur du pollo nous sorte du lit et un immense defile des enfants de la ville, deguises en mineurs, ou habits trad, etc. Une ambiance de folie. Nous visitons cette charmante ville, on apprend que 420 mines l entourent, et 15000 mineurs y travaillent.. Au detour d une rue, un mec non elance s elance pourtant vers nous ;) y doit bien avoir 50 ans.. me dit (maeva): donne moi ton mail, je veux te marier avec mon fils, il a ton age, a peu pres ! on peu aller diner ce soir, aller aux sources termales demain, et puis tu pourrais rester en Bolivia, on va monter une entreprise ensemble, gagner beaucoup d argent , etc … OUI OUI OUI … On evite ce fameux diner grce a des places de cine deja achetees pour SALVADOR ALLENDE, le documentaire. En sortantm il nous retombe dessus dis donc ¡! Onm invente en live un plan pour rentrer a lhotel, feignant l extenuation … ouf ¡¡ ¡ il nous rccompagne, mais finit par nous donner rdv demain matin. On se sauve en catimini alors pour aller a “la pizzeria la plus rapide du monde” !! hummm.. c est oublier qu o n est en Bolivia: ici, la vie et les gens mene leur train tranquillement.. todo is cool aquá